1IGNE 1 1 (chant d'amour)
Mise en musique par EFFECTIF & MONTORGE
No†re nous nouveau s’es† par†agé au mi1ieu hau†, à 1a croisée d’une 1igne mouvan†e
ce11e qui 1ie : deux consonan†es uni†és & qui appe11e une en†en†e en†re deux en†i†és personne11es
– 1’1 & 1’au†re pe†i† 1 visan† chaqu’1 son sens po1aire
(sa voie vers 1e cie1 commun comme Grand 1)
inverse à 1’au†re sur 1a 1igne, uni à 1’au†re par 1a 1igne.
Mais avan† 1a croisée, †on uni†é – surgie devan† 1e pe†i† 1 que je suis –,
mon uni†é – surgie devan† 1e pe†i† 1 que †u es –
avaien† in†eragi
s’in†riquan† dans une au†re uni†é é1argie, une & nô†re,
uni†é où 1es deux son† dis†inc†s (par 1eurs voies vers 1e seu1 cie1 commun),
où 1es deux créen† pour eux : 1eur in†rica†ion neuve – unique comme 1’es† : †ou†e in†rica†ion vraie.
Or main†enan† 1’é1oignemen† physique visib1e & dense,
que1 qu’i1 soi† (de dix ou cen† ou mi11e 1ieux), n’a aucune incidence sur 1’invisib1e in†rica†ion.
& où qu’ai11e chaqu’1, une 1igne demeure qui 1ie deux pe†i†s 1.
& 1a 1igne es† mouvan†e, e11e es† mue par nos deux mouvemen†s
1es mouvemen†s de chaque pô1e qu’es† chaqu’1, de chaque pô1e que vise chaqu’1.
& 1a 1igne es† mouvan†e en demeuran†, & 1a 1igne demeure en é†an† mue.
Or parfois i1 arrive que 1a 1igne qui va du poin† au poin†,
de 1’1 à 1’au†re pe†i† 1, fasse cerc1e à 1a fin.
Janvier 2013